C’est le futur qui se profile sous cette silhouette. Enfin, une toute petite partie du futur : celle de Veitis, nouveau constructeur anglais, qui avec cette motorisation, se lance dans la moto… électrique.

Ce drôle de V à ailettes est en fait composé d’un moteur électrique (dans la partie inférieure) et de batteries Lithium (dans les deux faux cylindres). Le reste de la moto s’articule autour d’un cadre tubulaire acier et de jantes à rayons. Pour quelles raisons déguiser une moto électrique en machine du passé ? Pour celles-là même qui voient se multiplier les modèles néo-rétro et autres équipements pseudo-vintage : face à un avenir pas franchement rose, le passé – ou du moins l’image d’Épinal qu’on s’en fait – rassure. Cet argument suffira-t-il à cette Veitis à se faire une place sur le petit segment de la moto à piles ? Vu la montée en puissance des forces en présence, on en doute un peu, d’autant que la Harley Livewire (elle aussi dans une veine électro- rétro) arrive d’ici peu. La Veitis sera présentée au Salon de Birmingham fin novembre. Autant dire qu’avec ses 112 km/h en pointe et ses 160 km d’autonomie, elle aurait fort à faire pour convaincre…

AUTOMIROIR

Depuis l’origine, la voiture a toujours été un objet symétrique, les quelques rares  tentatives de dissymétrie n’ont pas été couronnées de succès et sont rapidement retournées dans l’oubli.
Dès lors, assembler en miroir des fragments de carrosserie s’est imposé comme le point de départ d‘un jeu exploratoire et énigmatique.

Au fil de ses milliers de photos collectées lors de salons automobiles Philippe Gourdon fait apparaître dans ces montages, de manière fortuite, des formes animales ou des masques imaginaires comme si la brutalité mécanique de nos véhicules se cachaient des esprits capables de redonner une âme à nos chères autos…

philippegourdon.com

L’invention de la roue fut certainement l’une des plus grandes découvertes de l’histoire humaine. Que les premières traces se situent en Mésopotamie où en Ukraine 3 500 ans AVJC, qu’importe. Le tronc, le rocher se sont fait rond puis roue, la traction humaine et animale s’en sont trouvés révolutionnés. Aujourd’hui, où en serions-nous sans la roue ?

C’est à Genève, lors du salon automobile que nous est venue l’idée de rendre hommage à cette roue devenue jante associée à son pneu. Souvent négligée comme une vieille paire de basket, l’automobile d’aujourd’hui en a fait un élément du design à part entière, qui vit ses propres tendances, aussi bien qu’un produit de haute technologie lorsqu’il s’agit de sports mécaniques. Pourquoi pas les deux ?

Alors que la jante tôle habillée d’un enjoliveur plastique tend à disparaitre, changer les 4 roues d’une F1 en moins de 5 secondes s’est fait performance sportive.
Performance ? C’est bien cette quête qui a donné naissance à tant de solutions innovantes aux cours des siècles. Les concepts de Robert William Thomson et son cuir rempli d’air, le bandage caoutchouc de l’Ecossais John Boyd Dunlop, puis celui d’un Bibendum Français Michelin qui associera ses trouvailles, donneront naissance à la chambre à air qui changera définitivement le fond…Mais certainement pas la forme.

La roue…pardon la jante, indissociable de son pneu, sont désormais des produits de très haute technologique au point qu’ils ne nécessitent plus de chambre à air. Abandonnée comme une vieille chaussette. C’est le progrès, encore un, et ce n’est qu’une nouvelle étape. La quête écologique de notre monde d’aujourd’hui en sera une nouvelle…La roue tourne.

Si cette association Jante-pneu semble immuable, la recette a désormais son langage complexe propre à la diversité ; Déport, pouces, diamètre, entraxe, alliage, axe, branches, rayons, épaulement, valve, poids, design, forgé, central lock, écrou, verrouillage, largeur, acier, voile, base creuse, bord, magnésium, centimètre, aluminium, alésage… De quoi avoir un coup de pompe lorsque comme Cendrillon dans son carrosse, on cherche chaussure à son pied.

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La mécanique, le design, c’est aussi de la musique et de l’armorie.

Faster World est aussi fan de ces lieux parisiens qu’on déniche par passion et parfois par hasard. Chez Guitare Garage, artistes et musiciens font confiance depuis longtemps à l’équipe de cet atelier passion où depuis plus de 20 ans on répare, entretien, règle, restaure, branche, customise, booste, et construit des guitares.De Bernard Lavillier, à Renaud en passant par Louise Attaque, Sinclair, Yousou Ndour, Lou Doillon, Calogero, les Forbans, Axel Bauer, Kassav, Sakif Keita, Raphaël, Yael Naim et le regretté Johnny Halliday pour ne citer que les plus célèbres, ils sont tous passés par ce quartier de Pigalle afin de prendre soin de leurs Gibson ou Fender

Guitare Garage réalise aussi des guitares et basses sur mesure en partant de kit ou bien d’une page blanche complète. Si la grande tendance est d’assortir sa guitare à sa voiture de collection, ou encore de jouer sur scène avec une guitare lumineuse, l’une des dernières créations maison ne pouvait qu’interpeler Faster.

Cette version Facom inspirer de la forme « single cut », un des grands classiques de la guitare électrique.

L’idée était de mettre en avant le côté intemporel de la marque qui accompagne les professionnels du monde entier.
Mais il fallait aussi revisiter cette forme classique et lui donner un look industriel en phase avec l’identité de FACOM. Deux guitares recto verso ont été déclinées en version gaucher et droitier.

Elles embarquent au dos du corps, une boite à outils permettant de régler l’instrument. Chaque outil de ce kit de réglage est confortablement installé dans une mousse usinée découpée au millimètre et reprenant la forme du logo de la marque.
Guitare Garage? Born in Pigalle

Guitare Garage
19 rue Dupérré 75009 Paris

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